Que le désir constitue une dimension majeure des relations relève d’une telle évidence que l’on peut se demander pourquoi et en quoi les arts seraient requis pour l’étayer. Néanmoins il nous a semblé d’importance dans cette première émission de L’HEURE BLEUE de questionner littérairement l’ambiguïté du langage du désir sous l’angle masculin.
Rendez-vous le 9 novembre pour le second opus sur le langage du désir féminin _
À la technique _ Paul Levy.
À la lecture des textes _ Maialen Eyherabide & Olivier Vander
Une émission présentée par _ Amélie Guyot