Certaines substances sont considérées comme des drogues illicites, mais parallèlement à ça, différentes initiatives sont mises en place par des associations de réduction des risques liés à cette consommation, comme un distributeur de seringues, un centre de sevrage à l'héroïne médicale, ou encore des testings de la qualité des produits. Ces associations sont subsidiées par l'état. Tout cela pose différentes questions que des acteurs de ce domaine ont tenté d'éclaircir en studio.
Invités:- Anne-Françoise Raedemaeker de l'ASBL "DUNE"
- Bruno Valkeneers de la Liaison Anti-Prohibitionniste
- Jean-Bernard Cambier, subsitut du procureur du roi de Tournai
- Serge Lebigot de l'association française "Parents contre la drogue"
- Jean-Louis Barat de l'association française "Safe"