Ce vendredi 3 décembre (+rediffusions le 8 à 7h30 et le 10 à 19h), nous parlerons d’une pollution inodore, incolore, insipide mais non sans risques : la pollution électromagnétique. Depuis l’arrivée de la téléphonie mobile au début des années 90’, cette technologie s’est imposée comme moyen de communication de prédilection sans que ses promoteurs n’aient réalisé d’études indépendantes sur les risques liés à son utilisation. Quant aux normes d’exposition des antennes-relais, nombreux sont ceux qui s’interrogent tant sur la façon dont elles sont décidées politiquement que sur la manière de les mesurer.
- Comment vivent les personnes sensibles à ce type de rayonnement ?
- Pourquoi et depuis quand faut-il un permis d’environnement pour installer une antenne-relais ?
- Les antennes sont-elles nombreuses à Saint-Josse ?
- Quelles sont les normes appliquées en Région de Bruxelles-Capitale ?
- Vivre sans téléphone portable, une utopie ?
Questions parmi d’autres que nous aborderons en compagnie de Gérald Hanotiaux, membre du collectif De-mobilisation et de l’association Teslabel et d’Erwan Marjo, chargé de mission à Inter-Environnement Bruxelles (IEB).
Pour poursuivre la réflexion:
- Le CRIIREM - Centre de recherche et d'information indépendantes sur les rayonnements électromagnétiques.
- Pour savoir où se trouvent les sites d'antennes-relais dans votre commune, rendez-vous sur le site de l'IBPT
- - "Le téléphone portable, gadget de destruction massive" est un livre paru aux Éditions "L'échappée" (2008) et publié par l'association grenobloise "Pièces et main d'œuvre"
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