Les silences hertziens entre deux activités radiophoniques en direct ne sont pas souhaités. Imaginez, l'auditeur face au mutisme des ondes, en train de contempler un blanc radio !
C'est ainsi qu'à l'été 1985, des artisans panikéens façonnèrent des objets sonores pour offrir aux oreilles insatiables des "nonante minutes" de douceurs musicales. À répétition. Avant l'apparition inespérée d'un parallélépipède rempli de circuits électroniques et de bits numériques. Pour des heures de plaisirs eurythmiques.