Ce mercredi, nous donnerons la parole à Sotieta Ngo, directrice du CIRE pour évoquer avec nous la journée mondiale des réfugiés et en particulier des réfugiéEs. Ce sera l'occasion d'aborder les aspects souvent invisibilisés de la migration au féminin.
Pour la deuxième année consécutive, le CIRÉ organisera le 20 juin, à l’occasion de la “Journée mondiale des réfugié-e-s”, un événement artistique qui rassemblera des artistes de diverses disciplines, qui viennent d’ailleurs et se trouvent dans des situations de séjour différentes. En demande d’asile, à qui la protection a été accordée ou refusée, sans papiers, d’une immigration récente ou plus lointaine…
Cette année, ces artistes seront des femmes.
Parce que l’exil, la migration, la vie sans documents de séjour sont encore plus difficiles quand on est une femme.
Parce que le travail des femmes artistes est d’autant plus invisibilisé quand elles sont migrantes, ou d’origine non occidentale, par les difficultés de leur situation de séjour ou de leur parcours de vie.
Il s’agira aussi, cette fois encore, d’apporter un soutien concret et direct à des collectifs et mouvements de personnes exilées et de solidarité avec elles.