Jeudi 19/4 à 21h30 : Chers amis, RADIOGRAFIA a le plaisir de vous inviter à cette première émission de Cronopes à Mort, un voyage entre musique et littérature de la main de figures mythiques de la littérature latino-américain.
Mais avant partir, un petit renseignement pour la route :
Les cronopes, c’est quoi ça ?
Ces monstres ludiques, ils ne se laissent pas étiqueter aisément…capricieux et généreux a la fois, assoiffés de liberté, tournant dans l’orbite de ses propres désirs, ils sont en révolte permanente avec la réalité (toujours plus étroite). Partez avec nous dans ce voyage et vous dévoilerez le secret vert de ses rêves. Mais attention : vous risquez de tomber, tout comme nous, sous son charme.
Pour la première émission, nous allons plonger dans l’univers musical et littéraire de Julio Cortázar, découvreur des cronopes et cronope lui-même. Et pour ça faire, quoi de mieux que de partager les traces que nous avons suivies sur sa piste.
Les-voilà ! :
. Les textes : Rayuela (Marelle), de Julio Cortázar ; Rayuela, una propuesta para el nuevo milenio, de Ednodio Quintero ; Historias de Cronopios y de famas, de Julio Cortazar ; Entrevista a Edith Aron, par Juana Libedinsky
. Les personnages (par ordre d’apparition) :
Présentateur de Cronopes à mort : Joaldo Domínguez
Oliveira : Arturo Solís
Roland : Jeremy Fournie
Étienne : Guillaume Abgrall
Narrateur de Rayuela : Pablo Pérez
La Maga/Edith Aron : Myriam Khalfi
. Les Audios : Cortázar Lee a Cortázar (1966) ; Cortázar (1994), documentaire de Tristan Bauer ; Cortazar Por el Mismo, Un libro sonoro (1970)
. La Musique :
- Body and Soul . Coleman Hawkins and Orchestra (1939)
- Baby Doll. Bessie Smith (1926)
- Yellow Dog Blues. Louis Armstrong and his all stars(1954)
- Preambulo a las instrucciones para dar cuerda a un reloj. Migala
- It don’t mean a thing. Duke Ellington and Baby Cox
- Guariló. Juan Carlos Cáceres (2005)
- Get Back .Big Bill Broonzy (1951)
- They Call me a Junker. Champion Jack Dupree
- Lover Man. Charlie Parker.(1946)
Dans la prochaine émission de Cronopes à mort, nous rendrons visite a l’univers passionné de Andrés Caicedo, écrivain et critique de cinéma colombien, mort à l’age de 25ans, convaincu de que vivre au delà de cette age c’était un manque de respect a la jeunesse, sinon la vie.
Abróchense los cinturones et….
Bon Voyage !