L'info à la Rédaction, c'est… selon des conceptions et des manières de faire.
Ainsi, certain·es la font « à la bruxelloise » pour garantir l'« expression », ou encore de manière « différente » et/ou avec « humour » quand il s'agit de vouloir « informer autrement », d'autres en étant « concerné·e » et « engagé·e » car informer c'est pour « comprendre », « transformer la société », « donner la voix aux sans voix » et « créer des réseaux de solidarité ».
À 19h, certains soirs de la semaine et certaines semaines du mois, une équipe bigarrée prend ainsi le contrôle des studios pour partager ses humeurs radiophoniques et transmettre les voix qu'elle a recueillies.
Ses émissions ?
- L'émission de débat Panik sur la Ville, kaléiodoscopiquement radiophonique, ou l'inverse. Si on parle plutôt d'environnement, ça devient Panik sur la Terre. Et si on aborde des sujets socio-politiques sous le prisme des procédés artistiques, ça sera plutôt Panik sur l'Art.
- Et quand on est paresseux, on laisse les autres bosser et on diffuse des émissions d'info de radios amies via la tranche Les ondes d'à côté.
- Des émissions sont nées avec la rédaction et ont pris leur envol: le magazine Bruxelles M'Habite (qui pose son regard multiple sur notre ville), et l'émission décontractée "Bonjour, ça va?" (qui se tricote à l'aide d'un mot-thème librement interprété et tiré au hasard).
- Et puis, dans la boîte à archives, on peut trouver les podcasts des émissions L'Agenda Militant, Mange ta Soupe, Presse-Purée et Il Faut Tuer TINA
Tous ces formats pour contenter toutes les envies.
Parmi ses outils :
- La transmission de savoir-faire: pas besoin de background journalistique ou technique, à la rédac le « do it yourself » est sublimé.
- Le studio volant, sorte de drone sans hélices qui permet d'animer en toute circonstance et en tout lieu, à condition qu'il soit équipé d'électricité, d'Internet et de tout le confort moderne (thermos, chaussures de terrain, etc.), et de gens motivés. Ça a commencé ici en 2010, et ça s'est reproduit de nombreuses fois depuis.
- Des cacahuètes au paprika et de la bière localement mondiale passées en frais de réunion (merci le CA).
- Un goût pour les contenus que la SABAM ne nous taxe pas, par exemple ceux déposés sous une licence Creative Commons, et qu'on peut donc publier sur ce site et ailleurs.
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