Le festival Alimenterre revient du 10 au 15 octobre à Bruxelles, Ottignies, Louvain-la-Neuve, Charleroi, Liège, Verviers, Namur, Arlon et Mons avec des éditions également en Afrique (RDC, Sénégal, Burkina Faso, RCA...).
"Un événement pour repenser nos systèmes agroalimentaires dans le monde et nos manières d’habiter la Terre et un espace d’informations et d’échanges sur les enjeux fondamentaux de l’alimentation et de l’agriculture dans le monde. Organisé par Humundi avec un réseau de partenaires, il entend alerter le public sur les désordres agroalimentaires, mais aussi et surtout nous faire découvrir les alternatives et les pistes d’actions vers un système plus juste et plus durable. Films, débats, rencontres, concerts, ateliers, avec la présence de spécialistes du monde agricole, de cinéastes, d’expert·e·s du Nord et du Sud et des porteur·euse·s d’initiatives en faveur de systèmes agricoles et alimentaires sains, durables et résilients.
Cette année, le Festival Alimenterre se fait le porte-voix des luttes indigènes pour la préservation de leur territoire, de celleux qui se battent contre l’exploitation de l’homme, des animaux et du vivant contre la violence de l’industrie agroalimentaire, de celleux qui revendiquent plus de justice climatique et sociale, une plus grande sororité dans les campagnes pour la préservation de la qualité des sols."
Tout le programme sur le site : https://festivalalimenterre.be
C'est Karim Oriam qui viendra présenter cette édition en studio.
Photo de couverture de l'émission tirée du programme.
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"Entre 1870 et 1980, en Suisse, des centaines de milliers d’enfants et d’adultes ont été respectivement placés et internés administrativement dans des conditions déplorables, sous la responsabilité de l’Eglise et de l’Etat à des fins d’éducation au travail. Aujourd’hui, plus de 20’000 citoyens suisses sont encore concernés par ces faits. Des événements similaires ont été constatés en Allemagne, en France, en Angleterre, en Irlande, au Canada et en Belgique."
“Descendre » nous emmène dans une fiction qui nous confronte à des faits et témoignages réels et ouvre des questions aussi intimes que politiques.
Un texte Lauréat de l’Aide à la création ARTCENA (France). Un projet de François Badoud présenté du 4 au 20 octobre aux Riches-Claires et à découvrir sous ses multiples formes ce dimanche dans Screenshot.
Descendre | Les Riches-Claires (lesrichesclaires.be)
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Résumé : 1941. La Guerre.
Et si jouer aux échecs permettait de survivre et résister ?
Il est probablement le meilleur joueur du monde et n’a pourtant jamais vu un échiquier de sa vie…
Que la partie commence !
Adapté d'après la nouvelle 'Schachnovelle' / Le joueur d'échecs' de Stefan Zweig, c'est la nouvelle création de la compagnie des Rêveurs qui vous réserve quelques belles surprises dès le 25 octobre à la Cité des Rêveurs.
Fabien Franchitti nous en parle en studio ce dimanche.
Toutes les dates sont sur le site :
Le Joueur d'Échecs | Les Rêveurs (lacompagniedesreveurs.com)
et ne rater pas le concours pour être invité à la première via ce lien :
CONCOURS | Les Rêveurs (lacompagniedesreveurs.com)
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Pourquoi on ne se rencontre plus ?
Que met-on en place pour nous empêcher ou nous permettre de nous rencontrer ?
Les rencontres humaines aujourd’hui relèvent-elles du documentaire ?
De la fiction ?
Ou d’un subtil mélange des deux ?
C'est le questionnement de Sacha Fritschké, Louise Jacob, William Lethé, Jérôme Vilain, Lionel Robyr et Barnabé Couvrant dans un spectacle intitulé "Pendant ce temps-là, de l'autre côté d'ici", une création à découvrir aux Riches-Claires du 4 au 20 octobre.
Pendant ce temps-là, de l’autre côté d’ici | Les Riches-Claires (lesrichesclaires.be)
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"Le Champ de Bataille" - Spectacle nommé aux Prix Maeterlinck de la Critique 2020 dans la catégorie "Meilleur Seul en scène".
"L’ennui avec les enfants, c’est qu’ils grandissent. C’est qu’un beau matin, sans prévenir, ils mettent des trainings, répondent par onomatopées et écoutent de la mauvaise musique (…) Ça coûte une fortune en crème anti-boutons, ça change d’humeur toutes les six minutes, ça a le nez qui pousse. Ça se traîne du divan au lit en mettant un point d’honneur à vous rappeler que vous n’êtes absolument pas à la hauteur de votre rôle de père. Ça vous empoisonne. Ça vous déteste. C’est cruel un enfant qui grandit. Comble de tout, une fois dépassé le mètre 50, ça cesse de vous considérer comme Dieu en personne."
Reprise à la Venerie du 3 au 15 octobre et les 13 et 14 février au 140.
Denis Laujol metteur en scène nous en parle.
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